Problèmes :
Depuis que le gouvernement vaudois refuse d’appliquer l’interdiction de la mendicité, une odeur d’urine et un sentiment d’insécurité se sont progressivement installés dans les sous-voies de la gare de Lausanne, dans son métro la nuit et dans d’autres lieux à forte affluence du canton de Vaud.
Un réseau de mendicité importunant les honnêtes citoyens s’est à nouveau développé à Lausanne et dans le reste du canton.
Ceux qui veulent retrouver la sécurité et la propreté dans leurs rues signent notre pétition « Stop à la mendicité ! Oui à des solutions conformes à la dignité humaine ! ».
Historique :
Cela fera bientôt dix ans que l’initiative populaire de l’UDC pour interdire la mendicité a été déposée avec 13’824 signatures de citoyens Vaudois. En 2018, l‘interdiction de la mendicité entra en vigueur suite à son acceptation par le Grand Conseil vaudois.
Le résultat ne se fit pas attendre. Les piétons cessèrent de se faire importuner, les odeurs d’urine et l’insalubrité des rues diminua drastiquement, les réseaux de mendicité organisée disparurent de notre canton et l’insécurité (notamment pour les jeunes femmes) provoquée par cette mendicité organisée s’atténua fortement. L’industrie cachée derrière la mendicité organisée et la criminalité qui en résulte furent enfin combattues par les autorités. En résumé, la qualité de vie des Vaudois s’est concrètement améliorée.
Toutefois, malgré ces résultats remarquables, les partis de gauche n’ont pas cessé de s’opposer à cette interdiction votée démocratiquement (recours jusqu’au Tribunal fédéral, tentative de référendum, …).
C’est pourquoi, lorsque la Cour européenne des droits de l’homme, dans un élan technocratique et dans une interprétation hyper-extensive de la CEDH, a condamné la loi genevoise interdisant mendicité, la gauche vaudoise n’a pas hésité à réclamer une énième foi la suppression de l’interdiction de la mendicité. Le parlement vaudois a alors cédé à la pression et a assoupli sa loi bien plus que ce que la CourEDH exigeait.
Les conséquences de cette absence de courage et de fermeté ne se sont pas faits attendre et les Vaudois ont pu voir les Roms et autres mendiants réinvestir leurs lieux public (gares, grandes rues, transports publics, …) avec une rapidité déconcertante. La prolifération de ce fléau sociétal s’est d’ailleurs propagée avec une telle vitesse que c’est à se demander si ces mendiants n’ont pas été ramenés par une quelconque ONG.
Depuis le jugement de la CourEDH, que nous condamnons fermement, une odeur d’urine et un sentiment d’insécurité se sont progressivement installés dans les sous-voies de la gare de Lausanne et dans son métro (la nuit). Un réseau de mendicité importunant les honnêtes citoyens s’est à nouveau développé à Lausanne. Le citoyen vaudois fait à nouveau face à la tromperie et aux mensonges de certains mendiants. Ces derniers s’introduisant même jusque dans les trains, les usagers des transports publics ne jouissent plus de la tranquillité et de la sécurité d’autrefois.
En outre, face au manque de réaction de nos autorités, certains mendiants gagnent de la confiance et commencent à s’armer de petits couteaux ainsi qu’à menacer des agents de sécurité, comme le témoignent quelques membres des forces de l’ordre. De quoi les autorités ont-elles besoin pour prendre le problème en main ? D’une attaque au couteau ? De plus, l’absence d’opposition de notre gouvernement est une sorte d’approbation de la mutilation de certaines femmes et enfants, dans le but d’attirer la pitié, et de la traite d’êtres humains qui se cachent derrière les réseaux de mendicité organisée.
Nos propositions :
- C’est pourquoi les Jeunes UDC Vaud s’engagent avec détermination en faveur du respect de la population vaudoise en demandant une interdiction plus stricte de la mendicité.
- Nous réclamons en outre à ce que les mendiants ne disposant d’aucun titre de séjour valables soient renvoyés dans leur pays le plus rapidement possible.
- Concernant les étrangers dont le renvoi n’est pas possible (p.ex. en cas de pays d’origine inconnu) un accord doit être négocié avec un pays d’Afrique afin d’offrir à ces étrangers que l’on ne peut renvoyer une opportunité de se former et d’apprendre un métier à de faibles coûts et dans un État tiers (p.ex. en Afrique).
La vraie mendicité (c’est-à-dire des Vaudois qui sont tombés dans une telle pauvreté qu’ils sont contraints à mendier) révèle un dysfonctionnement du système social vaudois que les Jeunes UDC Vaud dénoncent. En effet, les habitants locaux qui paient des impôts se voient trop souvent refuser de l’aide de la part de nos autorités au profit d’étrangers qui n’en ont jamais payés et qui n’ont aucun lien avec notre canton. Les étrangers sont trop souvent mieux traités que les locaux (la récente affaire dans laquelle des citoyens suisses ont été expulsés de leur appartement pour loger des requérants d’asile en est un exemple).
- Par conséquent, les Jeunes UDC Vaud proposent une préférence indigène en matière d’aide sociale afin de favoriser toute personne domiciliée depuis plus de 10 ans dans le canton de Vaud ou tout Suisse par rapport aux nouveaux arrivants.
En effet, le problème caché derrière la mendicité ne sera pas résolue juste en l’interdisant.
- Soit les mendiants n’ont aucune attache avec notre canton et ne sont venus que pour mendier, auquel cas notre responsabilité se limite à les renvoyer chez eux
- Soit les mendiants sont des indigènes qui sont tombés dans la pauvreté, auquel cas nous avons le devoir collectif de leur offrir des opportunités pour se sortir de leur détresse.
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