Tout d’abord MERCI à nos forces de l’ordre qui ont fait de leur mieux pour préserver la sécurité de nos concitoyens. La manifestation du 18 mars 2023 a tenté vainement de semer le trouble lors de l’assemblée des délégués de l’UDC à Genève, notamment en blessant un policier.
Visionnez ici la vidéo Instagram : https://www.instagram.com/reel/CqI4VK0jKAF/?utm_source=ig_web_copy_link
Les Antifascistes de Suisse romande et les féministes intersectionnels appelaient à manifester depuis plus d’un mois tout cela pour réunir quelques centaines de militants déchaînés et assoiffés de sang…
En guise de couverture médiatique de cet événement, un journaliste de Blick imprégné d’idées wokistes a publié un abject article rempli d’insanités. Je vous laisse en juger par vous-même. Je cite :
« Le discours anti-immigration, antiféministe, antiavortement, anti-homo et anti-trans ou le soutien à l’abjecte théorie raciste et complotiste du grand remplacement sont devenus normaux ».
Mais ce n’est pas tout. Ce journaliste fait également des rapprochements douteux entre le plus grand parti de Suisse et certains terroristes en allégant qu’« aux États-Unis, en Europe et dans la Russie de Vladimir Poutine, le discours anti-woke tue. Transportés par cette panique morale, des terroristes prennent leur voiture-bélier et leurs armes pour buter de l’antifa, du métèque, de la salope, du pédé ou du travelo. »
En plus d’être vulgaire ce journaliste méprise toute déontologie journalistique. Ces phrases sont écrites dans un profond mépris d’une grande partie de la population toujours plus nombreuses qui s’identifient dans le pragmatisme de l’UDC.
Il est dit dans les devoirs du journaliste que : « Le/la journaliste qui récolte, choisit, rédige, interprète et commente les informations respecte les principes généraux de l’équité exprimés par une attitude loyale envers ses sources, les personnes dont il/elle parle et le public ».
Il devient plus que nécessaire de remettre de l’ordre dans nos médias qui se muent en organes de propagande wokistes.
Nous sommes étonnés qu’un journal subventionné par le contribuable se permette de publier un tel contenu ne comportant aucun caractère journalistique mais constituant uniquement en un déferlement de haine et d’opinions personnelles préconçues et dépourvues d’aucune argumentation.
Les médias censés contribuer à la création d’un débat public construit semblent bien s’être métamorphosés en un simple relais de théories militantes douteuses !
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